(Mmh désolée, la fiche est baclée et médiocre, je poste une deuxième fiche RP dans la journée)
Identité :Prénom(s) et nom : Giulia Siriana Gattina.
Date de naissance, Age : 28 Octobre, 17 ans.
Sexe : Féminin.
Établissement : "Pour la gloire et le prestige Giulianina..." déclara Signora Gattina, suite aux judicieux conseils de Mrs Stewarts. Une conspiration dans les hautes sphères de Los Angeles, Giulia en était certaine.
Et sinon, vous, ça va?
Physique : Ouvrez bien les yeux. Vous la voyez ? Là-bas, la fille qui lance des regards noirs à tout le monde. Haha, oui, on dirait Barbie à la campagne, la seule cloche qui aurait eu l'idée de mettre des talons de cinq centimètres pour aller gambader dans l'herbe verte et boueuse. Quelle idée... Et Ken, où est-il ? Elle n'a pas oublier le poudrier en tout cas. Attends une minute, depuis quand le fard à joues se sniffent ? Barbie à campagne serait-elle dévergondée ? Non, vous plaisantez ce n'est pas comme si... Hum. Avouons le tout de même, sans une once de honte, Giulia a tout l'attirail de la poupée Barbie, excepté le cabriolet (et encore). Cependant, dans son cas ce n'est (presque) pas une insulte, Dame Nature s'est penchée sur son berceau, lui accordant la grâce et la beauté; rien que ça. Venons-en aux faits s'il vous plait.
Mademoiselle Gattina a hérité de la morphologie de sa mère, Diane, une silhouette fine et élancée. De longues et fines jambes halées qui se terminent souvent par une paire d'escarpins hors de prix ou de simples converses; un tour de taille à en faire pâlir plus d'une, des formes où il en faut et toujours mis à leur avantage ainsi qu'un rapport poids-taille parfaitement équilibré même si Giulia ne dépasse pas le mètre soixante-dix.
Son visage possède un petit quelque chose d'enfantin hormis ses traits fins et réguliers, peut-être ses deux grands yeux marrons, diffusant un regard qu'on peut qualifier de hautain (ou chaleureux.. hypocritement chaleureux) quand elle croise un de ces barjots, avec lesquels elle est maintenant obligée de cohabiter. Giulia n'est pas le genre de fille à battre des cils d'un air débilement mièvre, à baver devant un sac Chanel, mais quand elle est surprise ou trouve quelque chose d'intrigant, son sourcil droit a une légère tendance à se arquer... Ou bien, un regard perdu dans le vide, après consommation de certaines substances, ou encore moqueur et diabolique quand elle a à faire à un être particulièrement attardé (ce qui, avouons-le, n'est pas rare). Ses origines sudistes et son exposition constante au soleil californien lui offrent la chance de ne pas perdre son hâle naturel, même en plein milieu de l'hiver dans un village paumé dans la campagne britannique. Sa peau doré s'accorde parfaitement avec sa longue crinière rousse/châtain qui flotte dans son dos, qu'elle aime soigner et entretenir.
Il en est de même avec les vêtements. Ça fait bien longtemps qu'elle ne porte plus de jupes plissées, de chemisiers repassés, de robes à fleurs et de chaussettes qui remontent jusqu'aux genoux. Oh, non. Depuis son adolescence, elle est entrée dans les rangs de la californication, ce qui signifie Manolo hors de prix, la petite robe noire basique signé Chanel vue sur les podiums, un quelconque sac par un grand créateur à l'épaule et pour finir une paire de lunettes perchée sur le haut de sa tête. Même dans la campagne anglaise, oui.
Caractère : Etrange que cette poupée Barbie digne d'un film pour adolescent en rut. Même si son physique nous plonge dans un univers de superficialité, peut-être que le caractère ne suit pas. Peut-être je précise. Jusqu'à preuve du contraire, Giulia n'est pas schizophrène. Simplement caractérielle, grandir parmi les fils et filles des hautes sphères californiennes l'a conduit à se comporter en so-BIATCH-so-MEAN-so-BIATCH-GIMME-more. Elle a du jouer des coudes et de coups en traître pour parvenir à ses fins, quitte à se faire passer pour... la pire des garces que le monde ait porté jusqu'à présent ? Oui, c'est exactement ça.
Contrairement à la plupart de ses nouveaux camarades, Giulia est une personne sociable, le seul problème c'est qu'il y a peu de chance qu'elle les apprécie. Tous ces cinglés l'effraient, elle a peur que cette folie soit contagieuse et craint de souffrir d'une de ces pathologies si elle reste à Harper encore quelques jours. Elle sait être aimable et sympathique (ou, au contraire, désagréable et insupportable) évidemment, avec une personne qu'elle juge digne d'intérêt, assez maligne et qui est susceptible de la divertir (non, pas comme un jouet, mais un compagnon d'aventure). Néanmoins, elle sait rire d'elle-même et a conscience qu'elle est loin d'être parfaite.
Mademoiselle Gattina peut aussi se montrer agaçante, en effet, elle fait partie de ces filles qui ont confiance en elle-même, qui aiment attirer l'attention et qui n'hésitent pas à s'affirmer au sein d'un groupe. Elle déteste tourner autour du pot, aime avoir le dernier mot et préfère dire ce qui doit être dit, afin de ne pas pour un de ses saletés d'hypocrites qui cassent du sucre sur le dos des autres quand leurs vies sont tellement monotones et barbantes.
Elle fonce toujours tête baissée, quitte à se casser le nez contre un mur, sans oublier de préciser qu'il est difficile de la faire changer d'avis, têtue comme elle l'est. Le principal, c'est qu'elle se fiche pas mal du regard des autres et a la sainte horreur de se prendre la tête; préférant prendre la vie comme elle vient sans se préoccuper des conséquences, pour le meilleur et pour le pire.
Cependant, contrairement à toutes ses anciennes camarades, Giulia a toujours eu la fâcheuse manie de vouloir s'opposer à l'autorité, refusant définitivement qu'on lui donne des ordres. C'est d'ailleurs une des raisons qui la pousse à s'exploser le nez à coups de poudre blanche, à se couper la faim avec des amphétamines, à faire tout et n'importe quoi avec le sexe opposé, à se détruire la santé avec le tabac ou à se faire vomir à cause d'un surplus d'alcool dans le sang. Bref, tout ce qui pourrait lui donner une mauvaise image, de vilaine fille dévergondée prête à tout pour attirer l'attention sur elle.
Intéressant… Et le passé dans tout ça? Origine / Nationalité : Origines italiano-américaines / Nationalité américaine.
Histoire : Il serait sage de commencer par le commencement, dans les règles de l'art; et étant donné qu'en cette journée de Mars la sagesse figure au tableau, nous allons commencer par le début, les débuts de Giulia Gattina. Mais avant ça, il serait sage de nous concentrer sur la période Post-Giulia.
Pour Donatello Gattina, le hasard avait toujours bien fait les choses. Il était né dans une bonne famille italienne, des parents strictes, certes, mais le principal c'est qu'il pouvait faire ce que bon lui semble. S'adonner aux joies du surf, ce fut sa grande passion, il ne pouvait pas passer une journée sans monter sur sa planche, afin d'arriver au top-niveau, histoire d'augmenter sa côte de popularité, encore plus. Il n'en avait jamais assez. Sa vie et celle de ses camarades ressemblaient comme deux gouttes d'eau à ces séries américaines, surf, filles, fêtes. Et évidemment, sa rencontre avec Diana n'a rien de romanesque. Elle était saoule, lui aussi. Elle l'admirait, il l'avait déjà remarqué dans les couloirs. Elle vomissait dans le caniveau, il lui tenait ses cheveux. Romantique n'est-ce pas ? Oui s'écrièrent toutes les groupies hystériques, jalouses malgré tout. Parce que Diana et Donatello, ça marchait depuis six mois maintenant. Leur relation a toujours été étrange, ils se sont toujours considérés comme des meilleurs amis, et rien d'autre; ce qui explique certainement que leur couple ait survécu.
Ils ont par la suite fait leur entrée dans deux universités différentes, Donatello est parti à l'autre bout du pays, à Yale, pour des études de droit, tandis que Diana restait à Los Angeles pour des études commerciales qui la menèrent... pas bien loin. Quelques années plus tard, le premier bouleversement arrive. Non, ils n'ont pas adopté un chien appelé Médor, mais ils sont les -heures- parents d'une fille, nommée Giulia suite à un cruel manque d'inspiration. Les Gattina décident de quitter le pays pendant un an, pour s'installer à Milan afin de lancer la carrière de Diana. Arrive la petite Milena et le retour en Californie. Les choses sérieuses commencent.
On retrouve notre chère Giulia âgée de douze ans, allongée sur le sable blanc, entourée de dindes blondes plongées dans une intéressante discussion sur le dernier vernis Chanel. Giulia s'ennuit, comme d'habitude, on lui a presque imposé de passer ses journées avec ce groupe d'écervelées. Elle fréquente maintenant le meilleur établissement privée de la ville, parmi les enfants de la haute, notamment cette sauvage de Kenzie Stewarts. Certes, elle s'y est intégrée sans le moindre problème, mais elle ne supporte tout simplement pas qu'on lui dicte ce qu'elle doit faire. En plus, elle doit porter un uniforme. Grincement de dents. Elle essaye tout de même de donner une bonne image d'elle-même, ce qui explique son entourage.
Forcément, à partir d'un certain stade, la frustration est telle qu'on se met à faire n'importe quoi. Giulia arrête de refouler ses diverses envies, et veut jouer la true rebelz, la fucker, bref, arrêtez d'être la gentille fifille hypocrite. Elle passe ainsi ses cinq prochaines années à... profiter de la vie, à sa manière j'entends. A se dévergonder, à ne pas hésiter à envoyer tout balader, y compris ses études, ses pseudo-amies et sa mère qui se montre un peu trop autoritaire à son goût. Ce qui n'est évidemment pas vue d'un très bon œil par l'autorité parentale. Même son père qui, d'habitude, la laisse tout faire, essayer de la modérer. Diana refuse que sa fille devienne une loque humaine et salisse l'honneur des Gattina. Ou sinon, pas à Los Angeles, ce qui risquerait de mettre la réputation de la famille en danger.
Par un beau jour de printemps, Diana Gattina croise la route de Mrs Stewarts, PDG d'une entreprise avec qui elle collabore, au détour d'une conversation hasardeuse, Mrs Stewarts lui parle de cet établissement britannique, Harper, qu'on lui avait déjà recommandé, dans lequel elle avait envoyé sa fille. Kenzie Stewarts. Le nom vous dit peut-être quelque chose.
Sans attendre plus longtemps, Diana se renseigne sur ledit établissement, déjà pressée d'envoyer sa fille de l'autre côté de l'Atlantique afin qu'elle puisse finir sa scolarité (raison officielle). Elle en parle finalement à Giulia, lui vantant les mérites d'Harper et les raisons pour lesquelles elle devrait se dépêcher de faire ses valises. Giulia reste dubitative devant tant de volonté, trouvant assez louche le fait que sa mère veuille l'envoyer dans un trou paumé. La jeune femme reste quelque peu perplexe, ne souhaitant pas quitter le sable fin californien pour les paysages verdoyants et boueux du Royaume Uni. Elle essaye par tous les moyens de résister à l'autorité maternelle mais finit par céder. D'abord parce que sa mère venait de dire que Kenzie Stewarts était à Harper et que les retrouvailles seraient.. hum.. chaleureuses. Et surtout... Harper serait un terrain de jeux idéal pour provoque un cataclysme dans "le meilleur pensionnant de Grande Bretagne".
Situation familiale : Résumons le famille Gattina. A ma droite, Donatello, la cinquantaine, un ancien surfeur un poil narcissique reconverti depuis son entrée à Yale, en redoutable avocat. Un homme très avenant avec ses deux filles pour qui il n'hésite pas à se plier en quatre, depuis toujours. A ma gauche, Diana, une femme inépuisable et caractérielle aux mille et une carrières, passant de l'assistante-qui-prépare-le-café à la directrice-ultra-respectée-et-super-douée d'une marque de cosmétique. Donatello et Diana ont toujours vécu dans les hautes sphères californiennes, encore plus depuis la naissance de Giulia, puis de Milena. Cette dernière a deux ans de moins que l'ainée et ne ressemble en rien à Giulia mais elles s'entendent bien tout de même, Milena a la tête sur les épaules, l'air mielleux, hypocrite et ambitieuse.
Rêves et ambitions pour l’avenir : Comment ? Ambi-quoi ?
Trois secrets inavouable concernant votre personnage - Depuis cette terrible révélation sur la plage, Giulia a de petites tendances boulimiques et a un faible pour les pains au chocolat.. qui termineront dans les égouts.
- Bien qu'elle laisse penser le contraire, Giulia aime Harper et ses petits camarades, tellement différents des dindes californiennes.
- Milly J. et Melloy J. sont ses cousins éloignés. D'ailleurs, elle a entretenu un flirt avec ce dernier, mais pas incestueuse pour un sou.
Questions subsidiaires :Comment avez-vous découvert ce forum ? : La question ne se pose pas...
Comment trouvez vous le design? : Idem..
Combien de jours par semaine pensez-vous être là : 4-5 pour poster.
[i]Merci de préciser si votre personnage choisi est un prédéfini ou non : Nop.
- Spoiler:
Code : Kill the Mother Queen