Jason Ruston
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Date d'inscription : 03/12/2008
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Scolarité:
 | | Sujet: Jason Ruston Sam 6 Déc - 23:17 | |
| Partie 1 || Nom : Ruston
Prénom(s) : Jason Nicolas Lars
Date de naissance : 25 Décembre 1988
Lieu de naissance : Castlewood Day Hospital, 25 Shooter's Hill. London. SE18 4LG
Nationalité : Anglaise
Noms des parents : Blair Ruston, née Cartland, épouse de William Ruston
Noms des frères et soeurs : //
Situation familial : Fils unique. Vit avec ses deux parents.
Troubles et Informations particulières .
-Descend de la famille impériale des Romanov. Son arrière-arrière-grand-père est Nicolas II, le dernier tsar de Russie.
-Est entré grâce aux dons de ses parents, d'où l'aile Cartland de la Bibliothèque, du nom de sa grand-mère. Et non grâce au travail acharné qui lui a permis de réussir les examens comme il le prétend.
-Est claustrophobe.
-Déteste le noir, la nuit. Il angoisse à chaque sortie seul dans la rue, d'où le tazer qu'il garde toujours à portée de main.
- Aime secrètement J.
-Capillophile, dans le sens où il ne peut pas s'empêcher de toucher les cheveux des personnes avec lesquelles il discute.
Partie 2 || Entretient Psychologique (Extrait)
Quand il avait reçu « l'invitation » à se rendre chez le psychologue scolaire, Jason avait tout de suite compris, que s'il ne si rendait pas, il aurait de graves problèmes. Ce n'était pas une invitation, mais bien une obligation. Une corvée en quelque sorte. C'est donc avec un déplaisir certain et visible qu'il frappa à la porte du psychologue. Il n'attendit même pas la réponse, entra et s'installa directement sur le canapé.
« J'espère que vous ne voulez pas que je m'allonge et que vous me demandiez si j'étais amoureux de Mère quand j'étais petit ? »
« Parlez-moi plutôt de vous ? Quel genre de personne êtes-vous ? »
« Je suis une personne modeste, pleines de qualités, et presque sans défaut. Non, je n'irais pas jusqu'à dire que je suis parfait puisque je suis modeste. N'est-ce pas par là que commence la perfection ? Je suis une personne stable et posée … Mais on a tous nos petits secrets … Vous comme moi, n'est-ce pas ? »
Le regard glacial de la psychologue, ainsi que son long silence en disait long sur ce qu'elle pensait.
« Je pense que la base de toute relation doit être basée sur l'honnêteté, et je ne vois pas pourquoi, ni comment je pourrais continuer de répondre à vos questions si vous ne daignez pas répondre aux miennes.
Soit, pour tenter de répondre à votre question, car je ne pense pas qu'il existe une réponse, je suis tout à fait normal. Comme tous les élèves, non ? »
« Qui est votre modèle ? »
« Je n'obtiendrais pas de réponse à mes questions aujourd'hui, n'est-ce pas ? »
« ... »
« Soit, mais je peux faire la conversation pour deux vous savez. Vous pouvez répéter la question, j'étais trop concentré sur vos cheveux sont si harmonieux arrangés ainsi en chignon. Mais qu'est-ce que cela donne quand ils sont détachés ? »
« Qui est votre modèle ? »
« On ne peut pas avoir de réponse à nos questions … C'est tellement frustrant. Mon modèle ? J'ai tellement de modèles. Dans la vie, je ne m'inspire pas de mes parents si vous voulez tout savoir. D'ailleurs, aussi long que je m'en souvienne, je n'ai jamais connu le complexe d'œdipe. Je suis peut-être un cas psychologique. Non, je préfère largement m'inspire de Lady Diana. C'est mon modèle absolu. Grâce et beauté réunis dans un seul corps, dévouement pour les plus pauvres, et engagement politique. Histoire de princesses et fin tragique. Elle avait tout pour me plaire, il est donc légitime d'en faire mon modèle. »
La psychologue griffonna quelque chose sur son calepin.
« Vous notez tout ce que je dis, ou seulement ce qui fait de moi quelqu'un de bizarre. Vous voulez dire qu'il n'y a que moi ici qui trouve que Lady Diana mérite d'être un modèle ? C'est aberrant. »
« Votre plus grande force et votre plus grande faiblesse ? »
« Un peu plus et j'oubliais votre froideur habituelle. Comme quoi, « chassez le naturel, il reviendra au galop. Ma plus grande force ? C'est difficile comme question. C'est juste pour voir combien de temps on met pour allez au plus profond de nous ? Et bien, ma plus grande force … Ma capacité à improviser et à me remettre en question … D'ailleurs, vous pouvez noter que je viens de donner deux forces en tentant de n'en dire qu'une seule … Mais je ne vais pas vous apprendre votre métier …»
« Et votre plus grande faiblesse ? »
« Je vois que même mes petites piques ne vous font ni chaud ni froid. Ma plus grande faiblesse, c'est beaucoup plus facile. Je crois que je ferais tout pour garder mes secrets secret. Vraiment n'importe quoi … Ce qui me conduit parfois à l'absurde ! Mais après tout, comme l'a dit Goebbels, « Plus le mensonge est gros, plus il passe ! ». Vous n'êtes pas d'accord ? On ne vous apprend pas ça en psychologie ? »
« Vous devez manger un des produits suivants pour le reste de votre vie – lequel ? »
« Mais où allez-vous donc chercher vos questions ? Dans quel magasine y a-t-il des questions aussi … peu psychologiques ! Bon … Alors. Pouf Pouf. Am Stram Gram Pic et Pic et Colegram. Am Stram Gram ! Je pense que je peux arrêter là. J'ai bien démontré mon incapacité à prendre une décision, non ? »
« Parlez-nous de cette image, que voyez-vous ? »
- Spoiler:
« Mais dites-moi. On vous apprend quoi en psychologie ? Que des choses basiques ! Je sais que ce n'est pas par rapport à quoi je vais vous dire, mais à ma façon de regarder l'image et de l'analyser … Donc, je vais plutôt m'amuser ...
"Dites-moi, que voyez-vous ?"
"L'univers entier.
L'ombre et la lumière.
C'est formel et contextuel."
"Et quoi d'autre ?"
"L'ordre et le chaos.
La joie et la douleur."
"Et ... Il y a plus que cela ?"
"L'éventualité du triomphe.
La certitude de la défaite.
Une véritable apothéose !
C'est ce dont j'ai toujours rêvé sans pouvoir l'atteindre. Voilà ce que j'y vois."
"..."
"Oh oui, c'est fou tout ce que j'y vois. Mais je défaille en la présence d'une vérité artistique si forte."
[...]
"Je n'ai jamais trouvé quelqu'un qui comprenne réellement leur folie et leur beauté conceptuelle. A part vous !"
"Je peux maintenant apaiser mon âme torturée avec l'art. [...] Vous pouvez aider Cruella à oublier tout cela ?"
« Je ne suis pas fou vous savez. Ni un psychopathe, ni un sociopathe, je suis juste moi. Muhahaha ! »
« Quelles ambitions nourrissez-vous ? Comment vous voyez-vous dans dix ans ? »
« Je ne me suis pas encore posé la question. J'hésite encore à travailler pour le Gouvernement, devenir diplomate sans cesse en voyage, ou à faire de l'humanitaire. Pour Greenpeace, PETA, … Ou, dans le meilleur des cas, tsar de Russie ? »
« Le mot de la fin. Prenez cette feuille et cette pochette de crayons et représentez votre état d'humeur du moment. »
« On ne pourra pas dire que j'aurais essayé. J'ai tout tenté, les piques cyniques, les compliments, les boutades, mais rien n'y fait. C'est donc ça que l'on vous apprend en Psycho ! »
- Spoiler:
Nature des relations avec les autres élèves ..
Johannes Anderson - « Il n'y à pas de femmes inaccessibles, sauf celles qu'on aime.» (René Fallet)
Tout à commencer par une sombre nuit et un tazer. Un chaste baiser sur les lèvres. Rien de plus atroce que d'aimer ce qu'on ne peux atteindre. Un amour à sens unique en quelque sorte. Et le doute est jeté sur un esprit en questionnement. Depuis, quelques petits mots échangés rapidement sans grand intérêt … Le beau temps ou les cours ...
Kitsuné Xanda - « La manipulation des élites est encore plus facile que celle des masses. » (Jean Yanne)
Une rencontre entre deux personnes, riches, à cause d'une quelconque bibliothèque … Deux personnes obligées de faire semblant de s'apprécier pour la « forme » ! Mais finalement chacun y trouve son intérêt. Jason a besoin d'être protégé … Et qui peux mieux le faire que l'Impératrice du Mal ?
Kenzie Stewarts - « Il y a des gens qui observent les règles de l'honneur, comme on observe les étoiles, de très loin. » (Victor Hugo)
Binôme d'astronomie. (A compléter)
Liliany Sturgess - « Consolation. Lorsqu'on constate qu'un homme meilleur est plus infortuné que soi. » (Ambrose Bierce)
Rencontrée lors d'un des voyages de L. à Londres juste avant son entrée à Cambridge. Elle avait besoin d'une épaule pour pleurer, et J. lui a tendu ses bras. Une histoire d'amitié ? Se sont retrouvés à Cambridge ensemble pour leur plus grande joie ! Elle connaît l'un des secrets de J : Son angoisse de la nuit, et le taser qu'il a toujours sur lui.
Alexey Somerled- « Où la passion rôde, la compétition guette. Ou serait-ce l'inverse ? » (Robert Blondin)
Binôme de russe. Relations exécrables. Ne peuvent pas se supporter, et encore, c'est trop doux pour décrire leur relation. Leur but ? Couler l'autre, tout en gardant la tête hors de l'eau.
(Suite à venir ...)
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